Quelques commandes git que j’utilise (presque) au quotidien

Aujourd’hui, j’ai décidé de parler d’un outil que j’utilise au quotidien dans ma vie professionnelle, le système de gestion de version git.

Avec cet outil j’utilise certaines commandes très utiles. Mais je n’avais pas d’idée de comment contextualiser ces commandes pour vous en parler. Cet alors que je me suis souvenu d’un projet grace auquel j’avais pu un peu monter en compétence : gitstery.

Ce dépot est disponible à cette adresse : https://github.com/nivbend/gitstery.

Le fichier README du projet, visible sur la racine du projet présente déjà deux commandes git.

La première, est la commande de base si vous voulez récupérer un projet sur votre machine, git clone.

Cette commande, sous sa forme la plus basique, se présente comme ceci : git clone <url_du_projet>. Par défaut, le contenu sera placé dans un dossier portant comme nom la dernière partie de l’URL dans notre cas gitstery.

git clone https://github.com/nivbend/gitstery

Après s’être déplacé dans ce nouveau dossier, il faut lire le contenu du fichier instructions.txt présent dans ce dossier. Pour cela, on pourrait utiliser la commande Unix de base cat. Mais, comme indiqué dans le README, git dispose de sa propre commande : git cat-file.

Cette commande se décompose comme suit : git cat-file <type_objet> <hash>:chemin/vers/objet.

Dans notre cas, ce que nous voulons, c’est le contenu du fichier instructions.txt, à l’endroit où nous nous trouvons (HEAD).

git cat-file blob HEAD:instructions.txt

Comme indiqué à la fin de ce fichier, je vais par la suite vous présenter des commandes permettant de faire notre enquête sans quitter la branche actuelle (avec la commande git checkout).

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Gloubi script – une horloge illustrée

Aujourd’hui, j’ai décidé de m’attaquer à la version gloubi d’un script que j’ai également déjà créé de mon côté : l’horloge illustrée.

La version gloubi est visible ici, tandis que la création de ma propre version, faite avec jQuery, est présentée ici.

Présentation de la version gloubi

Pour commencer, on créé 10 objets de type Image() en leur attribuant à chacun l’attribut src correspondant.

c1=new Image(); c1.src="c1.gif";
c2=new Image(); c2.src="c2.gif";
c3=new Image(); c3.src="c3.gif";
c4=new Image(); c4.src="c4.gif";
c5=new Image(); c5.src="c5.gif";
c6=new Image(); c6.src="c6.gif";
c7=new Image(); c7.src="c7.gif";
c8=new Image(); c8.src="c8.gif";
c9=new Image(); c9.src="c9.gif";
c0=new Image(); c0.src="c0.gif";

Vient ensuite la fonction affiche(), permettant de changer les images, qui prend 3 paramètres en entrée : le nombre d’heures, le nombre de minutes et le nombre de seconde. Pour chacun des trois paramètres on détermine l’image à afficher pour les dizaines et les unités. Chaque image est modifiée en passant par la propriété images de l’objet document.

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Quel est le plus vieux navigateur ?

Dernièrement, je me suis posé la question de quel est le plus vieux navigateur web toujours en cours de développement.

J’ai donc fait quelques recherches que je vais essayer de vous synthétiser au mieux ici.

Présentation des candidats

J’ai orienté mes recherches autour des 5 navigateurs les plus utilisés actuellement, en début 2023 (voir Statcounter) :

  • Firefox
  • Opera
  • Edge
  • Safari
  • Chrome

Selon les critères utilisés, l’ordre peut changer et être plus ou moins précis.

Premier classement, l’age de la première version officielle du navigateur

Si on utilise comme critère la date de sortie de la première version du navigateur, le classement est très facile.

Parmis les 5 candidats, le plus ancien est clairement Opera, dont la première version est sortie en 1995.

Des autres navigateurs, le plus ancien est sorti 8 ans plus tard, et il s’agit de Safari, dont la première version est sortie le 23 juin 2003, pour être ensuite inclus par défaut dans Mac OS X 10.3 « Panther », sorti le 24 octobre de la même année.

Vient ensuite Firefox, dont la première version est sortie le 9 novembre 2004.

Puis Chrome est arrivé en septembre 2008. Quant-au petit dernier, Edge, il a été dévoilé au monde en avril 2015.

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Gloubi script – un système de tooltip

J’ai décidé cette semaine de me pencher sur le script de tooltip présenté sur le site de gloubiweb.

Dans une première partie je présenterai rapidement le fonctionnement du script actuel, et dans une deuxième, je vous indiquerai comment recréer (quasi) à l’identique cet ancien script.

Présentation de du code existant

Le script actuel se compose de plusieurs fonctions et classes assurant les différents traitements nécessaires, et comme pour d’autres gloubi scripts déjà présentés, les textes à faire apparaître sont renseignés directement dans le JavaScript.

La première fonction, DetecteNavigateur(), est là, comme son nom l’indique, pour détecter le navigateur du visiteur de la page et renseigner automatiquement des variables qui seront utilisées plus tard pour faire quelques ajustement selon le type du navigateur détecté. Ce genre de fonction n’est plus nécessaire de nos jours, car tous (ou presque) les navigateurs modernes fonctionnent de la même façon (ou de façon très proche) au niveau du JS.

Ensuite viens la classe CreationFenetre, qui possède 4 méthodes :

measureIt() : permet de mesurer la taille exacte du tooltip (utile pour son positionnement par rapport aux bords de la fenêtre de navigation)

writeIt() : permet de changer le texte à l’intérieur du tooltip

blendIn() et fadeIn() : ces deux fonctions permettaient de faire apparaître le tooltip de manière progressive, mais aucune des deux n’est encore fonctionnelle, car elles utilisent des propriétés et méthodes n’existant plus dans les navigateurs modernes

Il y a ensuite d’autres fonctions dont les plus importantes sont :

DetecteMouvementSouris() (le nom de cette fonction est suffisamment explicite pour que je n’ai pas à préciser sa tache)

PositionneFenetre() (la même)

AfficheTexte(), cette fonction a pour rôle de changer le contenu du tooltip.

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Le sitemap, la carte de votre site

Aujourd’hui, nouveau sujet de SEO. Cette fois-ci, j’ai décidé de parler de sitemap.

C’est quoi une sitemap ?

Comme sa traduction quasi littérale l’indique, il s’agit d’une « carte de site ». En lisant cela, je pense que beaucoup d’entre vous penserons aux pages Web indiquant les différentes rubriques et sous-rubriques d’un site, dont le lien est souvent mis dans le pied de page. Mais là, la carte de site dont je souhaite parler est destinée aux robots des moteurs de recherche.

Structure d’un fichier de sitemap

Le plus souvent, le fichier de sitemap est au format XML, et présente les URLs de toutes les pages de votre site (c’est à dire aussi bien des pages de catégories que des articles).

L’élément racine d’un sitemap XML est un élément <urlset>. Ensuite, chaque page est représentée par un élément <url>, enfant de la racine. Cet élément <url> doit avoir au moins un élément <loc> comme enfant, cet élément indiquant l’URL de la ressource.

Pour la présentation plus en détail des différentes balises, je vous invite à consulter la section correspondante sur le site sitemaps.org.

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